L’Énergétique chinoise
Les premières traces de l’Énergétique Traditionnelle Chinoise remontent à plus de 3000 ans. Les Textes Classiques ont été écrits à partir d'une somme importante d'expériences.
L’Énergétique Traditionnelle Chinoise apporte une autre conception de la maladie et de la santé en considérant l’être humain dans sa globalité. Par exemple, les émotions sont liées au corps et le corps est lié aux émotions, l'un ne va pas sans l'autre. Elle considère que, quand nous vivons, quand nous respirons, l'énergie circule en nous et nous sommes en interaction avec le monde.
L’Énergétique Traditionnelle Chinoise regroupe plusieurs disciplines reposant sur la même analyse commune de l’homme et son environnement :
- L’acupression ainsi que les cônes et cigares d’armoise
- Les plantes
- La diététique
- Le Qi Qong
- Le massage TuiNa
Le déroulement d'une séance
Une séance commence par votre bilan :
- j'écoute votre demande ou le motif de votre visite qu'il soit très précis ou plus global d'entretien de la vitalité,
- je vous pose quelques questions pour savoir comment vous fonctionnez (maux de tête, appétit, soif, sommeil, digestion...),
- j'observe votre langue et éventuellement votre posture (si demande d'ordre plus "mécanique"),
- je palpe vos pouls, vos trajets de méridiens (canaux énergétiques), ainsi que quelques points.
Une fois votre bilan effectué, je vous explique ce que j'ai trouvé et les outils (acupression, massage TuiNa, conseils alimentaires, exercices de Qi Qong) qui me semblent les plus adaptés pour répondre à votre demande ou motif de visite.
A noter qu'avec les enfants jusqu'à 10 ans, le massage et les conseils alimentaires sont les outils les plus adaptés et efficaces !
L'énergétique chinoise n'est pas un acte médical et ne saurait par conséquent en aucun cas remplacer les soins prodigués par votre médecin. Tout traitement médical et médicamenteux ne doit pas être interrompu sans l'avis de votre médecin.
Conformément à la loi du 30 avril 1946, au décret N° 60665 du 4 juillet 1960, aux articles L489 du décret du 8 octobre 1996.